Savigny, ville jumelée

BOUTILIMIT

Savigny-le-Temple est jumelée à Boutilimit en Mauritanie depuis 1986. Depuis, de nombreux jeunes Savigniens sont tombés sous le charme du désert mauritanien.

Présentation

  • Pays : République islamique de Mauritanie
  • Situation géographique : ville située dans la région de Trarza, à 150 km de Nouakchott, capitale du pays
  • Nombre d'habitants : environ 30 000 habitants dont près de 18 000 dans la partie urbaine
  • Nom des habitants : les Boutilimitois
  • Langue : les langues officielles sont l'arabe et le français, la langue maternelle de tous les Boutilimitois est le hassaniya.
  • Signes particuliers : Boutilimit se développe avec la sédentarisation de populations nomades. 

La ville

Boutilimit est un village très ancien, bâti autour d'un puits qui appartient à la tribu des Ouled Biéri.

Suite à la colonisation par la France au début du 20e siècle et la construction d'un centre administratif, le village s'est progressivement développé dans la dépression créée par deux dunes. La culture maraboutique des habitants leur a permis d'accéder facilement à la formation proposée par les Français. A l'indépendance, en 1960, de très nombreux cadres Mauritaniens étaient originaires de Boutilimit.

La construction de la Route de l'Espoir dans les années 70, ce ruban goudronné long de plus de 2 000 km, a transformé le village en une ville commerçante, avec l'installation de nombreuses boutiques offrant toutes sortes de marchandises.

Mais au même moment, la sécheresse qui a sévi de longues années en Mauritanie a décimé les troupeaux, contraignant ce peuple nomade à se sédentariser.

Depuis décembre 1987, Boutilimit est érigée en commune avec un conseil municipal de 21 membres élus à la proportionnelle. Son territoire est un disque de 15 km de rayon, au centre duquel se trouve la zone urbaine ; et la commune abrite maintenant une trentaine de localités, situées pour la plupart au bord de la route de l'espoir.

En dehors des emplois de services (commerçants, enseignants, personnels de santé…), il est difficile de trouver un emploi sur place et de nombreux habitants sont contraints d'aller travailler à Nouakchott.

Boutilimit signifie "l'endroit où pousse le tilimit", une graminée haute de 1 m, qui couvrait la région... jusque dans les années 60 ! La sécheresse l'a fait disparaître, il n'en reste plus maintenant que quelques touffes au milieu du sable, entre les dunes, à l'abri des acacias. Pourtant lorsque l'hivernage est bon (s'il pleut de juillet à septembre), les pâturages verdissent et les troupeaux de chameaux, de bovins, de moutons et de chèvres peuvent se nourrir sans trop s'éloigner.

Actions marquantes

  •  Rencontres de jeunes lycéens pour la rédaction d'un livret bilingue
  •  Construction d'équipements communaux dont l'hôtel de ville
  •  Stages d'étudiants à Boutilimit (urbanisme, infirmier, économie)
  •  Extension du réseau d'adduction d'eau
  •  Intervention d'un professeur mauritanien à Savigny-le-Temple pour présenter aux travailleurs sociaux les actions de prévention menées dans son pays dans la lutte contre le SIDA
  •  Reboisement de 65 hectares de dunes par 32 jeunes savigniens et leurs homologues mauritaniens à l’occasion de 4 chantiers de solidarité internationale et accueil la cinquième année des jeunes mauritaniens à Savigny-le-Temple pour un chantier environnemental.
  •  Construction de latrines dans les écoles rurales pour faciliter la scolarisation des jeunes filles.
  •  Formation de femmes cheffes de ménages au maraîchage biologique utilisant le goutte-à-goutte.
  • Formation de personnels infirmiers puis de pompiers aux interventions lors d’accidents de la route.
  •  Formation des pompiers aux techniques « en milieux périlleux » ; ils ont ainsi pu sauver plusieurs personnes tombées dans des puits.
  •  Formation, par les pompiers savigniens accompagnés de leurs homologues suédois, de jeunes, écoliers, collégiens et lycéens, aux gestes de premiers secours.
  •  Accueil d’un universitaire mauritanien, professeur de philosophie et écrivain pour une conférence « Je suis musulman, à quoi sert ma raison ? »
  • Projet El Mouhassil, financement d’un logiciel pour améliorer et informatiser le système de collecte de taxes et de redevances à échelle locale. Savigny-le-Temple a répondu à un appel à projets du Ministère des affaires étrangères et a obtenu une subvention de 9 000 € pour mener à bien ce projet.

N’DJILI

De nombreux Savigniens sont originaires de la R.D. Congo ; ils ont créé plusieurs associations pour faire connaître la situation de leur pays d’origine et mener des actions de solidarité. Ils ont donc sollicité la ville de Savigny-le-Temple pour que des liens plus étroits soient tissés, ce que le conseil municipal a accepté en décidant de signer un jumelage avec N’Djili le 26 juin 2016.

Le bourgmestre de N’Djili et des fonctionnaires sont venus dès 2016 pour préparer de futures actions. En l’attente d’élections qui verront N’Djili érigée en commune avec un conseil local élu, des projets communs sont à l’étude.

Présentation

  • Pays : République démocratique du Congo
  • Capitale : Kinshasa
  • Situation géographique : située dans le district de Tshangu, province de Kinshasa,
  • Nombre d'habitants : 430 000 habitants
  • Langue : la langue officielle est le français, la RDC est le pays francophone le plus peuplé du monde, devant la France. Plus de 200 langues ethniques sont parlées dans le pays, dont quatre ont le statut de langues nationales : le kikongo, le lingala, le swahili et le tshiluba.

La ville

N’Djili est une des 24 communes qui composent la capitale Kinshasa. Essentiellement urbaine, la ville est répartie entre 13 quartiers ; elle abrite une vallée maraîchère florissante où sont cultivés de nombreux fruits et légumes qui alimentent la région. La plupart des habitants viennent de l’ensemble des régions du pays à la recherche d’un emploi et de meilleures conditions de vie.

Actions marquantes

Ce jumelage, récent, est encore à la recherche d’actions qui profitent aux populations des deux communes, N’Djili mais aussi Savigny-le-Temple.

Suite aux deux premières missions de mai 2017 et février 2018, des échanges ont été réalisés ou sont envisagés :

  •  Participation de la troupe « Le Palmier » via une vidéo au Festival international des chorales le 25 novembre 2018 à Savigny-le-Temple.
  •  Projection en novembre 2018 du film documentaire "L'affaire Chebeya, un crime d’État ?" au cinéma de l’Espace Prévert, en lien avec l’association « Espoir des Orphelins sans voix »
  •  Réhabilitation d’un orphelinat qui accueille quelques-uns des nombreux enfants que les autorités confient aux éducateurs de l’« association des mamans encadreuses des enfants mal nourris et abandonnés » en 2020. Poursuite avec l’aménagement de rangements dans les dortoirs en cours en réflexion.

COMARNIC

Début 1990, Savigny-le-Temple décide d'accompagner Comarnic dans les bouleversements politiques engagés par la Roumanie. Les échanges culturels se sont développés, mais aussi entre professionnels de la santé, de l'éducation, entre associations telles que les cyclotouristes et les randonneurs, jeunes danseurs et chanteurs.

Le "comarnic" est le nom de la pièce-sas par laquelle passaient les brebis pour la traite ; leur lait est utilisé essentiellement à la fabrication du fromage.
 

Présentation

  • Pays : Roumanie
  • Capitale : Bucarest
  • Situation géographique : ville située à 100 km au Nord de Bucarest (au sud-est du pays) au pied des Carpates.
  • Nombre d'habitants : 11 000 habitants
  • Langue : le roumain
  • Signes particuliers : ville-village dans une région touristique à 20 km de Sinaïa et de ses pistes de ski - disparition progressive des industries locales. Depuis 1990, de nombreux habitants ont quitté la commune, voire le pays, pour trouver du travail.

La ville

La ville se déroule sur 5 km, le long de la vallée de la rivière Prahova, longée par la voie de chemins de fer et la route nationale n° 1. De part et d'autre de la vallée, les routes montent rapidement et, si la mairie se situe à l'altitude de 545 m, on atteint 1 300 m sur quelques hauteurs.

Avec une économie roumaine en mutation, les emplois industriels disparaissent : la cimenterie et la briqueterie ont fermé.

Beaucoup de familles cultivent un jardin potager et élèvent quelques animaux. De nombreux vergers couvrent la montagne.

Les traditions sont encore vivaces et les "mamaïés" (grand-mères) s'occupent des enfants quand les parents sont au travail. La maison de la culture et le club des enfants accueillent des groupes de musiques, abritent des répétitions de danses traditionnelles, organisent de nombreuses activités en dehors du temps scolaire et des échanges internationaux. Depuis que les associations sportives disposent d’un gymnase pour pratiquer leurs activités, de nouveaux clubs se sont développés.
 

Actions marquantes

  •  Correspondance pendant 3 ans d'une classe de Comarnic avec une classe de l'école des Ormes, se clôturant par une rencontre d'une semaine à Savigny-le-Temple, suivie d'une semaine à Comarnic en mai 2000
  •  Équipement de la bibliothèque de Comarnic en rayonnages et achat de livres (roumains, français et bilingues)
  •  Accueil de jeunes de Comarnic pour un échange de points de vue sur des thèmes tels que la toxicomanie, les relations familiales, les enfants déscolarisés
  •  Randonnées cyclistes communes, tant en Roumanie qu'en France, avec l'association "Savigny-le-Temple cyclotourisme"
  •  Organisation par l'association savignienne de randonnées pédestres " Pas à pas ", avec son homologue roumain "Mugur de Colt", de séjours en été, alternant randonnées et découvertes de Comarnic et sa région. En 2004, un protocole d'amitié a été signé pour renforcer les liens entre les deux clubs.
  •  Organisation conjointe de séjours pour les jeunes (camp d’ados, rencontres de danseurs).

Iznalloz, Dehesas Viejas et Domingo Perez

Soucieuse de soutenir l'Espagne sortant du franquisme et entrant dans l'Europe, Savigny a choisi, grâce à des relations personnelles, Iznalloz comme seconde ville jumelle. Elle était alors composée de 3 hameaux assez éloignés les uns des autres : Iznalloz, Domingo Perez et Dehesas Viejas, dotés d'une autonomie communale partielle à partir de 2003. Ils ont depuis acquis leur totale autonomie politique en 2014.

Villages andalous, ils accueillent de nombreux vacanciers et développent l'agro-tourisme ; le musée mycologique d’Iznalloz s'est enrichi d'ouvrages offerts par Savigny-sans-Frontières ; à plusieurs reprises, les savigniens ont pu apprécier les talents des chanteurs et danseurs de plusieurs groupes locaux, dont la "Tuna" de Domingo Pérez, ainsi que le parfum de la fameuse huile d'olive.

Présentation

  • Pays : Espagne
  • Capitale : Madrid
  • Situation géographique : communes dans la province d'Andalousie, à 35 km au nord de Grenade.
  • Nom des habitants : 5 000 Acatuccitanos à Iznalloz, 900 Péreños à Domingo Pérez et 760 Izaviejos à Dehesas Viejas

La ville

L'Andalousie se niche au cœur de la Sierra Nevada , où des sommets culminent à plus de 2 000 m, à 30 km au nord de Grenade. Nos jumelles espagnoles Iznalloz, Domingo Perez, et Dehesas Viejas, sont distantes les unes des autres de plus de 10 km.

Toutes trois s'organisent autour de leur église (celle d'Iznalloz date de 1549 et a été classée monument historique en 1973) et les maisons blanches s'accrochent à flanc de colline. A Iznalloz même, le quartier gitan (un tiers de la population) s’étend jusqu'au creux de la vallée du Rio Cubillas. Tout autour, à perte de vue, les oliviers proposent leurs alignements.

Depuis le premier voyage de savigniens à Iznalloz en 1984, les constructions se sont multipliées : confortables maisons d'habitation sur les hauteurs, équipements sportifs et culturels, maison de retraite…

Avec l'entrée de l'Espagne dans l'Union Européenne, les activités économiques ont été développées et se sont diversifiées. Si la préparation de l'huile d'olive tient encore une place importante (au point qu'une section spécialisée a été créée au sein du lycée d'Iznalloz), d'autres cultures apparaissent ainsi que des entreprises comme la scierie où sont fabriquées certaines des cagettes que nous retrouvons sur les marchés français et un "polygone industriel" a été inauguré le 30 août 2005.

De grands espoirs ont également été placés dans le développement du tourisme. Au cœur de la forêt, vous pouvez passer des vacances dans un des gîtes du parc "El Sotillo", visiter le musée mycologique.

Le nom d'Iznalloz vient de "hisn-al-lauz" qui signifie "château des amandiers" en Arabe.

Iznalloz est la plus importante des 17 communes regroupées dans la "Comarca de los Montes Orientales", dont la vocation est essentiellement économique.

Actions marquantes

Depuis 35 ans, de nombreuses rencontres ont eu lieu : camps de vacances, classes de collégiens, touristes, stagiaires souhaitant perfectionner leur espagnol, recherche de débouchés économiques pour l'huile d'olive.

Deux importantes délégations (Acatucitanos à Savigny-le-Temple à l'automne 2002 et savigniens à Iznalloz durant l'été 2004) ont croisé leurs expériences : parents d'élèves, services municipaux, associations caritatives, sportifs, développement économique... Nombreux sont les contacts qui demeurent au-delà des années, parfois depuis 20 ans, par courrier ou téléphone, par courriel maintenant. Aujourd’hui les échanges se réalisent avec l’une ou l’autre ou nos 3 jumelles andalouses suivant le thème de la rencontre.

Tyresö

Désirée Clary et Jean-Baptiste Bernadotte, qui ont habité Savigny-le-Temple, sont également les fondateurs de l'actuelle dynastie suédoise. Et c'est naturellement qu'un ministre suédois des affaires sociales, visitant à Savigny-le-Temple la maison de l'enfance Désirée Clary, a proposé un jumelage.

Depuis, des chorales suédoises se sont produites à Savigny-le-Temple, des artistes savigniens ont été accueillis à Tyresö, des contacts ont été pris entre les professionnels de la petite enfance et des éducateurs sur le thème de la prévention de la violence ; des sportifs et des lycéens des deux communes se sont rencontrés lors de tournois ; des pompiers ont souhaité échanger sur leurs pratiques.

Présentation

  • Pays : Suède
  • Capitale : Stockholm
  • Situation géographique : Ville située au sud-Est de la capitale, avec deux kilomètres de limite commune
  • Nombre d'habitants : 45 000
  • Signes particuliers : ville nouvelle en développement

La ville

Entre terre ferme, presqu'îles et archipels, on ne trouve pas moins de huit "ports" pour amarrer les bateaux qui, l'été, permettent de se rendre sur une île. Et quel plaisir, l'hiver, de patiner sur la mer baltique gelée.

Une réserve naturelle couvre plus de la moitié du territoire de Tyresö. Une maison de la nature permet de découvrir la flore et la faune locales ; passant en quelques minutes des montagnes et de la forêt au bord de mer, à Tyresö et ses environs, on peut pratiquer aussi bien le golf que le tir, les randonnées pédestres, équestres, le ski…

Tyresö, c'est aussi une commune urbaine. Entre les immeubles des quartiers populaires et les maisons recouvertes de bois des zones résidentielles, les équipements publics accueillent petits et grands : les jardins d'enfants (dont un en plein air, même par grand froid l'hiver), les écoles et le gymnasium (lycée), la bibliothèque et les équipements culturels ou sportifs, les centres pour les personnes âgées... Mais ne cherchez pas l'hôtel de ville ! L'entrée de l'immeuble qui abrite les services municipaux se trouve au cœur du centre commercial.

Comment, enfin, ne pas parler du château de Tyresö et de son parc ? Les plus anciens bâtiments furent construits en 1630 ; on y parle du prince Eugène et de Marie-Antoinette ! Un musée, un restaurant et le parc qui abrite une auberge de jeunesse reçoivent chaque jour de nombreux visiteurs.

Ses jumelages

Tyresö a noué des contacts avec quatre villes : Borga en Finlande (1966), Cesis en Lettonie (1991), Wejherowo en Pologne (1993), et Savigny-le-Temple (1983). Des rencontres ont eu lieu pour élaborer une réflexion commune sur des sujets tels que la prévention des conduites à risques chez les jeunes, l'écologie et l'urbanisme.

Actions marquantes

Durant de nombreuses années, une classe de Tyresö est venue à Savigny-le-Temple et nombreuses sont les familles savigniennes qui peuvent en témoigner. Une année sur deux, des élèves du lycée Pierre-Mendès-France se rendaient en Suède. Mais les élèves suédois ne choisissent plus le français comme langue vivante et les propositions des professeurs n’ont plus autant de succès.

À plusieurs reprises, Savigniens et habitants de Tyresö ont fêté ensemble la Sainte Lucie (13 décembre), en robe blanche avec une couronne ornée de 4 bougies, entourée de lutins vêtus d'un costume rouge.

Chaque 24 juin, en Suède, est célébré Midsommar en chantant et dansant autour d'un mât fleuri. Les Savigniens ont eu l'occasion de le célébrer avec les habitants de Tyresö en 1986, 1996, 2006, 2010 et 2016 ... et toutes les fois où ils se sont rendus à Tyresö.

Des rencontres culturelles ont été organisées, comme l'accueil en résidence à Tyresö, l'été 2000, de deux jeunes artistes peintres savigniens qui se sont installés quelques temps dans le parc du château. Plus récemment, les villes ont confronté leurs expériences en matière de petite enfance et de santé, de développement durable, visitant les équipements de l'une et de l'autre commune, chacune expliquant les raisons de ses choix.

Rencontres multi partenariales

Des rencontres multi partenariales dans l’une ou l’autre ville ont lieu régulièrement.

En 2016, à l’occasion du Printemps des jardiniers, des apiculteurs mauritanien, suédois et roumain ont échangé sur leurs pratiques et la disparition des insectes pollinisateurs. Un apiculteur espagnol était également représenté à travers une exposition. En 2017, une artiste roumaine et un photographe suédois participaient à cette nouvelle édition.

En 2016, l’Entente féminine de football Savigny-Nandy a organisé un tournoi auquel ont participé une équipe suédoise et une équipe espagnole. Une nouvelle rencontre a été organisée à Tyresö en 2018. Une équipe roumaine s’était constituée pour une rencontre à Savigny-le-Temple en 2020… annulée pour cause de confinement sanitaire. Mais l’idée n’est pas abandonnée.

En 2016, le festival international des chorales rassemblait des chorales sénartaises, l’une de Tyresö, l’une de Domingo-Pérez et une toute jeune chorale créée à Comarnic. En 2017, le Festival était reçu par nos 3 jumelles andalouses et en 2018 à Comarnic.

En 2018, le club d’échecs de Savigny-le-Temple a proposé un tournoi auquel ont participé des joueurs de Tyresö, d’Iznalloz et de Comarnic. L’année suivante, ce fut le tour de Comarnic de recevoir le tournoi. Le club de Tyresö fa fêté ses 40 ans en 2020, et le tournoi s’est déroulé en ligne avec 2 joueurs savigniens.

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